ChatGPT croque à son tour dans la liberté d’expression absolue !

paultensor
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On appelle cela « passer sous les fourches caudines ». Celles de la gouvernance de Trump et de son truculent second, Elon MuskElon Musk. Hier, OpenAI s’est plié aux exigences du nouveau président américain, qui souhaitait que les intelligences artificielles (IAIA) soient débridées pour respecter la liberté d’expression.

Quelques jours après son élection, Donald Trump jugeait, en effet, que les IA et notamment GPT étaient trop « wokes » et qu’elles devaient être libérées de ces contraintes. C’est désormais chose faite. Lors de l’annonce de la modification de son Model Spec, c’est-à-dire la charte du comportement de GPT, OpenAI a expliqué qu’il n’y aurait plus du tout de censure pour éviter d’exclure certains points de vue.

Vers des IA désinhibées

Au final, tout sera permis, ou presque, même les contenus d’ordre sexuel, à moins qu’ils impliquent des mineurs. De fait, OpenAI s’aligne derrière Meta et l’arrêt du fact-checking, et se rapproche désormais de l’IA Grok intégrée à X. Cette dernière a, pour le moment, toujours une longueur d’avance en matièrematière de débridagedébridage.

Difficile de savoir si OpenAI va dans le sens du « ventvent », comme l’ont fait tous les géants de la Tech en s’alignant sur la volonté du président Trump, ou bien s’il comptait déjà désinhiber GPT pour accélérer son développement.

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